Ce n’est pas de la provoc envers les récents sinistrés, avec lesquels je compatis sincèrement… mais une vraie question d’étanchéité à la lumière…
Je m’explique :
J’ai trouvé un folding qui fonctionnait à l’origine avec du film 616, et je lui ai fabriqué une petite adaptation pour qu’il puisse tourner au film 120.
Mais… au développement, j’obtiens une bande surexposée tout le long du négatif (en haut et en bas). J’ai pensé d’abord à une fuite lumineuse de l’appareil, mais ça me semble peu probable. Du coup j’ai réfléchi à la spécificité du système.
En fait, la bobine 120 sert de réserve, et le film exposé s’enroule sur une bobine métallique 616… légèrement plus grande.
Ça donne ceci :
[img]https://galerie.35mm-compact.com/albums ... _copie.jpg[/img
]
Je me demande donc (et je vous demande !) :
est-ce que l’espace libre entre la tranche du film et les flasques de la bobine 616 pourrait suffire à provoquer un voile ?
Le papier protecteur du 120 n’est-il pas suffisamment large pour assurer l’étanchéité sur les bords ?
Merci d’avance pour vos retours, surtout de ceux qui bricolent entre les formats.
J’ai d’ailleurs vu quelques passionnés expliquer des adaptations similaires et leurs résultats sur un blog externe — par exemple ici : https://mym-gratuit.fr/blog/ — où ils détaillent assez bien les comportements du film selon les variations d’enroulement.
Ça m’a donné envie de creuser encore plus la question avant de refaire une pellicule complète.
Hâte de lire vos avis éclairés !



